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BandeauSitePlaisir-2012-09-16

6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 16:55

Les vacances sont bien finies et comme prévu la rentrée s’annonce toujours plus difficile pour les familles qui ont à faire face aux charges de scolarité.

L’évolution des conditions d’accès aux transports spéciaux pour les élèves se concrétise par une disparition de la gratuité sur notre commune dont nous jouissions depuis des décennies.

Le désengagement de l’État vers les collectivités s’accompagne une nouvelle fois de charges supplémentaires à l’échelon du citoyen déjà pressuré de toute part.

Ces changements étaient prévus de longues dates et nous aurions pu penser qu’entre responsables des transports (STIF) et municipalité, durant cinq années de transition les évolutions se négocient et s’organisent pour une évolution progressive.

En fait les orgueils politiques en ont décidé autrement, et la municipalité droite dans ses jugements et positions a préféré refuser en bloc des propositions du STIF (sous entendu la Région Ile de France de Gauche) prenant ainsi en otages nombre de familles dans l’incapacité de faire face au coût demandé.

L’article paru dans l’Essentiel de septembre remarquable d’intérêt pour s’attaquer au Président de Région l’est bien moins pour expliquer ce qui a véritablement changé, pour donner des arguments crédibles et compréhensibles, notamment d’un point de vue comptable, ce qui intéresse chacun au premier chef.

Car en fait, cette gratuité des transports ne tombait pas du ciel, et le STIF n’a pas baissé sa subvention ! De surcroit le Conseil Général apporte son soutien !

Les élèves déjà titulaires d’un titre l’an passé conservent leur droit vis à vis de la subvention STIF, alors quel serait le coût induit pour les nouveaux pour lequel la Municipalité ne veut rien entendre ? Quel également serait le coût pour un maintien de la gratuité ?

Y aurait-il d’autres priorités ou bien sommes nous face à un coup médiatique en période d’échéances électorales ?

Ces informations nous les avons demandées, comme les associations de Parents d’élèves et sans plus de succès, avec la sempiternelle explication : c’est la faute du STIF et de la Région. Ce sera la chanson de la rentrée !

Mais où est passé la démocratie ?

Les conditions d’accès à l’enseignement sont une priorité nationale, et cela commence par le trajet domicile/établissement qui doit se faire avec le minimum de fatigue et le maximum de sécurité pour tous les élèves, de toutes les familles quelle que soit leur condition.

Nous ferons pression dans ce sens et accompagnerons les familles pour qu’elles obtiennent satisfaction.

Bonne rentrée à tous malgré tout.

 

Bernard ANSART

Conseiller Municipal

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28 juin 2011 2 28 /06 /juin /2011 14:37

Dans son interview, publiée le 24/06/2011, Bernard Ansart soulignait le manque d’informations et de vision sur les intentions de la majorité, qui nous privait d’un véritable débat démocratique. Découvrons ensemble un exemple flagrant.

Le Conseil municipal du 23 juin devait débattre sur une résolution en 3 points et se prononcer sur l’ensemble de ces 3 points par un vote unique.

1 – Approbation de l’intercommunalité avec Les Clayes et Villepreux

2 – Approbation du souhait de Thiverval-Grignon de rejoindre cette intercommunalité

3 – Demande de rejoindre de préférence  l’intercommunalité de Saint-Quentin en Yvelines (CASQY)

Les deux premiers points ne posaient bien sûr aucune question particulière puisque depuis bientôt 10 ans nous militons pour cette solution. Par contre la demande de rejoindre la CASQY demandait une réelle concertation et un réel débat argumenté.

Cette idée du Maire de Plaisir de rejoindre la CASQY est nouvelle et nous l’avons découverte dans l’Essentiel du mois de juin. Nous aurions aimé en discuter et avoir des informations concrètes pour nous prononcer en toute connaissance de cause.

Nous ne rejetons pas cette idée mais sur un sujet aussi impactant qui engage la ville pour de nombreuses années, nous aurions aimé en savoir plus sur les projets que nous devrions partager. Quels seraient les impacts financiers et pour quels services supplémentaires ? Y aurait-il un risque sur la maîtrise du Plan Local d'Urbanisme pour notre ville ?. En rejoignant la ville nouvelle, fortement urbanisée, quelles garanties disposerions-nous pour préserver notre équilibre rural/urbain sans abandonner les terres agricoles aux fortes demandes d'urbanisation ?

La note de synthèse envoyée aux Conseillers municipaux d’opposition reçue 5 jours avant le Conseil et seule information donnée (la législation est respectée) vous donne un exemple concret de la mauvaise information envers les élus de l’opposition. Vous verrez qu’aucune vision, qu’aucun argument ne sont avancés.

Oralement le Maire a indiqué en Conseil qu’il préférait dépasser les étapes intermédiaires pour une intercommunalité élargie pour ne pas revenir plusieurs fois sur le sujet, car trop de temps avait été perdu.

Ce revirement de position nous amène à nous demander si nous ne sommes pas en train de confondre  anticipation et précipitation face à des choix où la conquête du pouvoir prendrait le pas sur les attentes des habitants de notre ville.

Lire la note de synthèse Délibération sur projet interco SDCI Délibération sur projet interco SDCI

Bernard Ansart, au nom des seuls élus PS, a ensuite lu une déclaration sur notre position concernant l’intercommunalité.

Lire l’intervention de Bernard Ansar  InterventionCMInterco-2011-06-23 InterventionCMInterco-2011-06-23

Le vote unique sur les 3 articles ayant été maintenu malgré notre demande de voter séparément pour chacun des articles, les élus PS ont malgré tout approuvé le projet soumis au vote. Leurs nuances d’approche sur ce sujet primordial n’aura pu s’exprimer qu’au travers de l’intervention orale faite qui sera porté au Procès Verbal mais qui depuis 2005 ne fait pas l’objet d’une publication publique sur le site Internet de la ville contrairement aux pratiques de la plupart des autres villes.

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24 juin 2011 5 24 /06 /juin /2011 20:14

BernardAnsart 007R

Bernard, tu viens d’être élu président du groupe de la gauche rassemblée au Conseil municipal. Dans quel état d’esprit te trouves-tu maintenant ?

Cette confiance qui m’a été manifestée par l’ensemble du groupe est bien sûr valorisante. Dans le même temps je suis bien conscient des responsabilités que cela m’imposent et que je suis disposé à assumer.

Peux-tu préciser ces responsabilités ?

La première, est d’être un acteur de l’unité du groupe pour la seconde partie du mandat. Ce n’est pas toujours évident et cela nécessite des compromis car si les différentes composantes du groupe défendent les mêmes valeurs elles ne partagent pas toujours la même vision.

Mon objectif est surtout que les Plaisirois nous perçoivent comme une équipe qui travaille, dynamique et crédible, une équipe qui défend des valeurs et des priorités partagées par un maximum de personnes en attente d’un mieux vivre dans notre ville.

Dans le Conseil municipal vous êtes 7 élus de gauche sur 39 élus. Quelles sont les principales difficultés que vous rencontrez pour justement mener ton projet de constituer une équipe crédible ?

C’est en effet un exercice difficile et délicat. Difficile car nous sommes complètement exclu du cercle de préparation des projets municipaux. Pour illustrer ce propos je citerais les propos du Maire « Monsieur le Maire fait remarquer qu'il ne souhaite pas réellement associer l'opposition lorsqu'il voit comment les informations de dossiers importants sont détournées » (Cf. PV du CM du 19/05/2011).

Délicat, car bien trop souvent les articles mis en délibération sont organisés non pas en vue d’une discussion mais dans le but de gêner politiquement l’opposition. Du point de vue « politicien » c’est de bonne guerre, du point de vue démocratique ce n’est pas acceptable.

Cela se manifeste bien souvent par des votes bloqués sur des sujets que nous aimerions approuver pour quelques articles et discuter ou amender sur d’autres. Par exemple, nous ne sommes pas entièrement opposés à la vidéosurveillance mais notre priorité reste dans l’investissement de moyens humains de proximité.

Pourquoi ne faites vous pas plus d’informations de ces problèmes auprès de la population ?

Avec quels moyens ? Nous avons une tribune mensuelle de 2340 caractères maximum, (espaces compris) dans l’Essentiel. Notre texte doit être déposé 12 jours avant la date de parution et on s’est vu repousser une correction demandée quelques minutes après l’heure de dépôt des textes. Nous ne sommes pas certains que la majorité ait les mêmes contraintes.

Le journal de notre section est financé exclusivement par les militants, leur nombre est donc limité dans l’année, il nous reste le blog de la section.

Tu vois bien, que ces moyens sont donc dérisoires face aux moyens dépensés en communication officielle par la mairie et ne permettent une communication à la hauteur des besoins de la population.

La majorité vous accuse souvent de ne pas faire de propositions concrètes. Que peux-tu répondre ?

Nos propositions portent principalement sur des principes de plus d’égalité et de justice, donc sur des choix de priorités. Les ressources de la Ville n’étant pas extensibles cela suppose des arbitrages qu’il faudrait instruire et chiffrer.

Ces questions à résoudre sont souvent très techniques et complexes. Nous n’avons pas comme le Maire la possibilité de nous tourner vers un service financier ou juridique municipal. Nous n’avons pas les moyens de mandater des cabinets d’études.

De plus nous n’avons aucun titre officiel à faire prévaloir. Comment se présenter auprès d’un service officiel ? Comme membre de l’opposition ? Cela n’a aucun poids auprès d’une administration.

Peux-tu nous donner un exemple concret de cette difficulté ?

Bien sûr. L’exemple des emprunts toxiques de la ville. Cette enquête nous a demandé des mois de travail pour recueillir les informations, les comprendre et les formuler dans un document paru sur ce blog. Nous avons eu recours à des camarades « experts de la finance » d’autres communes pour arriver à y voir clair. Nous ne pouvons compter que sur notre réseau et … sur le mépris du Maire lorsque nous posons des questions qui le dérangent.

Pour finir, peux-tu nous préciser comment tu vois la seconde partie de ce mandat ?

Je commencerai par un vœu, que le Maire comprenne que notre engagement n’est pas moins sincère que le sien, que nous ne sommes pas moins que lui soucieux de l’intérêt des Plaisirois et que l’opposition représente environ la moitié des électeurs de la commune. Son mépris à l’égard de l’opposition, sa vindicte à notre égard n’est pas digne de l’exercice démocratique d’une commune comme Plaisir.

Notre objectif est de continuer à nous battre pour obtenir un maximum de transparence dans les décisions municipales, et pour déceler les conséquences non explicites des décisions qui sont prises par la majorité.

Les habitants ont besoin de comprendre l’avenir qu’on leur dessine. Avec nos moyens, au fil des échéances politiques qui se préparent, nous irons à leur rencontre pour affirmer nos valeurs, notre vision et nos priorités du local au national.

 

Propos recueillis par Marc Gineston

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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 17:14

Visiblement la majorité UMP du Conseil municipal ne partage pas, ou ne supporte pas, le vote des Plaisirois aux récentes élections cantonales.

Ce mois ci, dans sa tribune publiée dans l’Essentiel elle s’en prend vigoureusement à Jean-Michel Gourdon qui « oublierait » de s’occuper de notre ville !

Les électeurs n’ont certainement pas eu cette impression puisque plus de 62% des Plaisirois lui ont accordé leur confiance pour un nouveau mandat et pour la droite, ce score a du mal à passer.

Cette attaque sonne comme un mépris de la très récente consultation démocratique.

Faut-il aussi rappeler que ce sont les amis politiques de la majorité municipale qui gère notre département avec une écrasante majorité ?

En bref pour eux tout ce que le département fait pour Plaisir, nous le devons à la majorité du Conseil général et tout ce qui n’est pas fait serait de la faute, du désintérêt, de l’incompétence de notre Conseiller général minoritaire. Le raisonnement nous semble un peu simpliste mais nous laissons à chacun son niveau d’argumentation.

Il est bien inquiétant de constater qu’après 10 ans de pouvoir sur Plaisir, la majorité en soit encore à dénigrer l’opposition de gauche du Conseil municipal comme du Conseil général et à l’accuser de tous les maux.

« Inquiétant », c’est bien le mot, lorsque se pérennise la  stratégie du « bouc émissaire ».

Lire aussi Une dérive dans l’intoxication et le mépris

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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 17:47

Jusqu’à présent, dans les tribunes de l’Essentiel écrites par la majorité UMP, les dérapages étaient assez fréquents mais restaient dans les limites de sa polémique politicienne habituelle. La tribune du mois de mai montre qu’une étape a été franchie.

Jamais le mépris et la désinformation, voire l’intoxication n’ont atteint de tels sommets et en voici quelques exemples.

Le PS promeut depuis de nombreuses années une intercommunalité entre Plaisir, Les Clayes et Villepreux. Nous l’avons défendu lors des municipales de 2008. Notre Conseiller général en a fait un des thèmes majeurs de sa campagne. Malgré un premier avis favorable du préfet, c’est la position de « suiveur » du Maire sur ce sujet qui nous préoccupe, sans entente avec Les Clayes et sans projet clair.

Le PS souhaiterait une augmentation des impôts ! Que celui qui l’affirme apporte le début de l’ombre d’une preuve. Par contre, à une réunion de quartier comme celle de l’Aqueduc le Maire lui-même, a laissé entendre que cette « non augmentation des impôts ne durerait peut être pas ».

Quant à la gestion rigoureuse de la Ville, la démonstration ne se fera pas uniquement en économisant sur le budget du CCAS ou en exploitant le bénévolat des associations, mais elle se vérifiera quand les conséquences des d’emprunts toxiques signés par la ville seront connus début 2012.

Pour cette majorité, depuis 10 ans maintenant, tous les maux viennent de l’opposition reléguée au rôle de bouc émissaire, et sa seule stratégie est contenue dans la formule de Beaumarchais « calomniez, calomniez, il en restera toujours quelques chose ».

Que s’est il donc passée pour que la majorité UMP tombe dans de tels excès.

Il faut sans doute trouver une explication dans l’élection récente de Jean-Michel Gourdon, qui sur Plaisir a réuni plus de 62% des suffrages. C’est la 4ème élection de suite où la gauche est majoritaire sur Plaisir ! Alors bien sûr il ya de quoi pour eux être inquiets.

Le rejet de la politique gouvernementale relayée sur Plaisir par la majorité municipale est de plus en plus flagrant. L’injustice sociale, la misère rampante, la précarisation des jeunes et des familles, font tomber de plus en plus de personnes dans la désespérance et justifient grandement ce rejet.

Lorsque la majorité, face à de tels problèmes, manipule l’opinion des habitants par l’amalgame, la désinformation et la dérision, cela nous fait penser aux méthodes du parti d’extrême droite. Ce n’est certainement pas un hasard puisque comme nous le disons régulièrement, l’UMP locale est un relais de la politique de Nicolas Sarkozy.

Nous pensions Plaisir un peu épargnée par de telles méthodes. Il n’en est donc rien et c’est bien le plus grave et le plus inquiétant. Face à une telle menace nous restons vigilants et mobilisés et continuerons à être une force de propositions pour notre ville.

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 13:43

Valibout-2011-02-25 002RCeux qui suivent l’information dans la presse locale ont pu s’apercevoir que le quartier du Valibout avait fait l’objet de plusieurs articles alarmants. (Voir « Les Nouvelles de Versailles » du 02/02/2011 et du 16/02/2011)

Alors que s’engage enfin la première tranche de réhabilitation des immeubles les plus vétustes du quartier (18 mois de travaux), les locataires lancent un cri d’alarme sur leurs conditions de vie désastreuses qui frisent le scandale.

Nous sommes allés à leur rencontre d’escalier en escalier et de porte à porte et chaque fois nous entendons les mêmes doléances : absence d’entretien régulier des communs intérieurs, ascenseurs en panne durant plusieurs semaines, réparations non faites, infiltrations d’eau, etc. Beaucoup nous parlent aussi du « sentiment d’insécurité » aux abords extérieurs ou à la traversée des halls, notamment la nuit.

L’avis est unanime ; la situation s’est particulièrement dégradée ces cinq dernières années entrainant le climat du quartier dans une spirale négative, malgré une volonté clairement exprimée et partagée par les habitants, de combattre cette situation. Le bailleur de ces immeubles en est responsable ; il ne se prive pas d’exercer son droit de loyer, mais néglige de fournir le  service correspondant.

Si le bailleur argue que les équipes techniques des ascenseurs se sentent en insécurité, les habitants se plaignent de ne jamais voir les forces de Police au bon endroit au bon moment.

Ce quartier est clairement délaissé par la municipalité qui se contente en permanence de dégager sa responsabilité, de rejeter la faute sur le passé, et reste « spectatrice » d’une situation devenue alarmante et invivable pour les habitants.

Et concernant les extérieurs de ce quartier, qu’est-il prévu aujourd’hui? Nous n’en savons toujours rien comme d’habitude, mais il est probable que rien ne serait fait avant la réalisation des 3 tranches de réhabilitation, alors 2014/2015 peut-être ? Ceci serait inacceptable !

En attendant c’est la désespérance chez les habitants, les personnes âgées ou handicapées se demandent chaque jour si elles vont rester coincées dans leur logement faute d’ascenseur, d’autres glisseront peut-être dans les escaliers où l’eau ruisselle quand il pleut, et où l’éclairage est souvent défaillant.

Devant une telle situation, avant que l’irréparable ne fasse l’actualité, nous demandons à la municipalité de Plaisir de prendre les mesures nécessaires :

·         En exigeant du bailleur un plan d’urgence pour remédier aux problèmes courants les plus critiques tout en poursuivant le projet de réhabilitation.

·         En renforçant les conditions de sécurité au sein de ce quartier le jour comme la nuit, à l’instar de ce qui se fait sur les autres quartiers de la ville.

Dans un bras de fer qui s’engagerait et pousserait les habitants à faire la grève des loyers, nous serions solidaires d’une telle action.

 

Bernard Ansart

Conseiller municpal P.S.

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 16:25

Comme l’exige la coutume le mois de janvier a été consacré à l’échange des vœux, et notre Maire n’a pas été en reste, rappelant en synthèse qu’avant tout allait mal mais que depuis 2001 tout était mieux et que nous devions lui faire confiance dans un contexte difficile !

Avoir une politique transparente est le passage obligé pour mériter la confiance. Pour cela il est indispensable de savoir créer du lien avec les administrés et cette notion semble échapper à la municipalité actuelle.

L’année passée, le mauvais état des routes de la ville avait été l’origine de vives protestations, et un plan exceptionnel de réfection avait dû être engagé.

En ce début d’année, plusieurs sujets d’inquiétude mobilisent des Plaisirois et plusieurs collectifs se sont déjà créés : collectif des Gâtines concernant l’implantation d’une antenne 3G sans concertation, collectif de parents d’enfants fréquentant les centres de loisirs.

Les demandes de rencontres avec le Maire sont pour le moment encore restées sans réponse. On peut comprendre l’insatisfaction de tous ces Plaisirois qui ressentent fortement l’absence d’écoute des élus majoritaires.

Il en est de même pour nous, élus de l’opposition, quand nous demandons à être associés aux dossiers qui structureront l’avenir de notre ville, comme l’évolution du PLU, la préparation de l’intercommunalité. À chaque fois, nous sommes écartés de l’instruction de ces dossiers et il nous est demandé de faire confiance aveuglément au Maire.

En guise de démocratie c’est une politique de « propriétaire de la ville » sans vision préalable qui nous est imposée. Cela n’est pas acceptable et nous soutenons les collectifs qui attendent depuis trop longtemps une concertation.

 

Bernard ANSART

Conseiller municipal P.S.

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29 janvier 2011 6 29 /01 /janvier /2011 08:44

Le 26 janvier se tenait le débat d’orientation budgétaire du CCAS en charge de l’action sociale de la Ville.

Depuis plusieurs années et surtout depuis ces récentes années de crise, nous sommes en désaccord avec la politique menée par la majorité UMP du Conseil municipal.

Plaisir est loin d’être épargné par la crise, la hausse du chômage en est la conséquence. Les dernières statistiques publiées par le ministère du travail sont éloquentes : L’augmentation du chômage à Plaisir dépasse les 5% en 1 an, bien au delà de la moyenne des Yvelines : cela fait près de 200 ménages supplémentaires jetés dans l’incertitude et la précarité.

Des enfants qui ont faim, oui, ça existe à Plaisir et c’est insupportable.

C’est avec comme objectif une réduction de l’injustice sociale, et le renforcement d’une véritable politique d’aide à l’insertion des personnes en difficulté qu’’Yveline Darneau, Présidente des élus de la Gauche rassemblée, est intervenue dans ce débat.

Lire le texte de son intervention  DOB 26-1-2011-Blog DOB 26-1-2011-Blog

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1 janvier 2011 6 01 /01 /janvier /2011 15:31

À chacun d’entre vous et à tous ceux qui vous sont chers, nous souhaitons une excellente année 2011. Vœux de santé, de chaleur humaine, de paix et de force pour la réalisation de vos rêves.

Garder les pieds sur terre pour s’indigner, se révolter, lutter et permettre à chacun d’avancer vers ses objectifs prioritaires.

Garder les coudes serrés, c'est avancer dans l’union pour avoir les idées et la force de nous mobiliser non pas pour une personne mais pour nos idées et nos valeurs au service des plus faibles et des plus démunis d’entre nous.

Bonne année à tous.

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1 décembre 2010 3 01 /12 /décembre /2010 09:30

Voilà presque 10 ans que le maire et son équipe ont été élus à la tête de la ville, et nous ne pouvons que constater le clivage qui se creuse entre les aspirations de nos concitoyens et sa façon de gérer la ville.

Au-delà de nos désaccords de fonds sur des dossiers tels que l’action sociale, l’aménagement de la RD30, la gestion catastrophique de la dette municipale, la sécurité et la prévention de la délinquance, c’est aussi une autre manière de faire de la politique et d’autres valeurs que nous portons.

Notre tribune de l’Essentiel de décembre Tribune-201012 Tribune-201012

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